[ACCUEIL] [PHOTOS] [MATERIEL] [PARUTIONS] [DROITS] [BIO] [LIENS] [CONTACT]
|
|
|
|
Cette liste de matériel est donnée à titre indicatif. C'est celui que j'utilise en fonction de l'envie et de l'humeur du moment. J'ai acquis tout ça petit à petit, neuf ou d'occasion sautant sur les opportunités qui se présentaient en fonction de mes moyens et de mes besoins du moment. J'ai appris la photographie avec le vieux ZENIT de mon père comme beaucoup qui ne sont pas nés à l'ère du numérique. Appareil fort sympathique qui a permis à beaucoup à gérer vitesse et diaphragme mais aussi un peu frustrant : l'obturateur ne comporte pas beaucoup de vitesses et l'appareil est presque aussi lourd qu'un NIKON F5. En colo j'ai eu la chance d'utiliser PRAKTICA et VIVITAR. Le VIVITAR est un appareil mécanique à monture K, tout manuel et sans aucun automatisme. Le viseur est très sombre et la cellule dialogue avec trois diodes vertes et rouges. Presque binaire, simple. L'obturateur n'est pas silencieux du tout. J'en ai trouvé un dans une brocante, acheté pour trois fois rien il y a des années déjà. Pour du paysage ou de la photo de nuit, rien de tel. Après quelques années et de longues hésitations j'ai la chance de pouvoir m'offrir mon premier appareil, un PENTAX P30T avec son zoom 28-80 mm que j'ai vite complété par un 50 mm et un 135 mm f2.5 PENTAX. Le TAMRON 17mm f3.5 m'a permis de goûter aux joies de l'ultra grand-angle. Objectif d'excellente qualité pour le prix et pour l'époque surtout quand on ferme un peu le diaphragme, l'idéal de mémoire est à F11. Pas besoin d'AF avec ce genre d'objectif, la profondeur de champ est énorme. A l'heure où beaucoup ne juraient que par l'AF, j'ai appris à cadrer et à composer avec ce matériel simple mais très agréable et d'excellente qualité, en autodidacte. Le zoom ne m'a jamais vraiment tenté, je trouve les focales fixes plus intéressantes, plus séduisantes. J'aime choisir mes objectifs pour la photo à réaliser, éventuellement en changer lorsque le cadrage ne me satisfait pas. Lorsque je me suis offert le NIKON F100, je n'ai pas hésité quand au choix des focales, 50 mm et 85 mm AFD. Les 28 AFD et 24 AFD sont venus s'ajouter au système par la suite, trouvés en occasion ici ou là. J'aime beaucoup le paysage et même en montagne, les grand angles sont parfois utiles. Je ne sais pas si je suis tombé sur un mauvais exemplaire mais mon 28 mm AFD est allé deux fois au SAV Nikon pour la même maladie en dix ans : diaphragme gommé.
Un conseil pour les optiques AFD :
avec
les
boîtiers Nikon argentiques venus après le F90X on peut ne
plus utiliser la bague de diaph mais la roue arrière ou
avant, ce qui rend plus précis le changement de valeur de diaphragme
(1/3 d'IL). La bague de diaphragme ne tourne ainsi plus ce qui n'est
pas bon pour l'objectif. Pensez à
faire tourner la bague de diaphragme régulièrement, cela vous
évitera peut-être un passage au SAV.
Pour moi chaque appareil, chaque objectif n'est qu'un outil qui permet de faire la photo que l'on souhaite prendre. Un outil est toujours un compromis. Aucun appareil ni objectif n'est parfait. Il faut juste connaître les limites de son matériel, savoir jusqu'où on peut aller avec. Le choix de l'appareil et de l'objectif dépend de l'humeur du moment, du sujet, du temps et de l'envie. J'aime avoir le choix. J'aime mes NIKON, mais j'apprécie aussi la finesse d'un PENTAX manuel ou le côté fun de l'Horizon 202 en panoramique sans oublier l'aspect père tranquille des moyen format 6*6. Les BRONICA SQB sont d'excellents boîtiers, fiables et abordables, le marché de l'occasion regorge d'appareils et d’accessoires dans des états divers : SQA, SQAi et autres. La série S2 est beaucoup plus ancienne et totalement incompatible avec la série SQ (objectifs et accessoires). Les objectifs se trouvent pour une bouchée de pain. La gamme PS est plus récente que la gamme S (différente et plus récente que les objectifs prévus pour les anciens appareil S2) mais les deux (S et PS) fonctionnent sur la série SQ. On trouve des kits GS1 pour quelques centaines d'euros sur le Bon Coin et des kits SQB pour encore moins cher. Le GS1 est un format 67 contrairement au SQ qui est un 66. J'avoue avoir une faiblesse pour le noir et blanc argentique, j'apprécie la couleur mais la trouve parfois complexe à maîtriser et pas indispensable pour tous les sujets. Pour moi, le noir et blanc permet d'aller directement à l'essentiel, on se focalise sur le sujet, les ombres et les contrastes. Les tirages barytés ont un rendu si particulier que j'affectionne tout particulièrement. J'ai parfois la nostalgie de ces laboratoires noir et blanc dans lesquels j'ai appris à développer mes films et à tirer mes photos, l'odeur des bains et cette lumière rouge qui donne le sentiment d'être dans un sous-marin. On s'amusait bien dans ces labos... Ce goût pour le noir et blanc m'habite encore et toujours. J'utilise principalement mes appareils numériques en mode monochrome et mes appareils argentiques sont toujours chargés en noir et blanc 36 poses.
Collection de planches contact
Le passage au numérique dans mon cas s'est déroulé tout simplement. Je n'ai pas acheté les premiers appareils sortis qui, de mon point de vue n'en valaient pas la peine. J'ai attendu patiemment tout en continuant avec mes F100, F5 et mes PENTAX. Il est vrai qu'à l'époque j'habitais Paris et se rendre à la FNAC ou chez Négatif Plus pour faire développer des films couleur n'avait rien de compliqué. A la campagne trouver un labo correct est une autre paire de manche. J'ai gardé mon labo pro à Paris auquel je rends visite avec un gros sac de bobines noir et blanc en format 135 ou 120 et duquel je repars avec une grande enveloppe pleine de négatifs et de planches contact quelques mois plus tard. Chromogène puis Barytine et désormais Processus Photo près du Père Lachaise. Mon bon ami Henri m'a un beau jour confié son vieux NIKON D70 au format APSC qui m'a permis de faire mes premiers pas en reflex numérique. Le viseur n'est certes pas celui de mes NIKON argentiques mais franchement ça passe. Mon 85 mm AFD devient un 127,5 mm, génial pour le portrait. Fin 2010 je me décide à m'offrir un compact dit expert, le SAMSUNG EX1, sympathique petit appareil avec son dos articulé si pratique. Excellente qualité d'image pour l'époque, appareil robuste, utilisation intuitive, mode manuel très pratique et surtout présence de deux molettes pour modifier le couple diaph vitesse. Tout petit il se glisse dans une poche et se fait tout petit dans un sac. Je l'emmène partout, sur les chantiers, en vacances, en vadrouille le week-end... Un vrai bloc-note. Samsung a quité la photographie numérique. Je pense que c'est une erreur. Pour les chantiers, je me suis procuré un Ricoh WG-4, appareil étanche et antichocs qui très agréable à utiliser.
La percée des
hybrides m'a beaucoup intéressée dès les premiers modèles OLYMPUS
/Panasonic et SONY et j'ai suivi avec beaucoup d'intérêt les
discussions au sujet de ces appareils et de la possibilité qu'ils
offraient indirectement de par leur conception de pouvoir y adapter via
une bague presque n'importe quel objectif.
Après de mûres réflexions, j'ai craqué pour un PANASONIC GX1
qui, curieusement a les mêmes dimensions que mon SAMSUNG EX1 alors
que le format du capteur est bien plus grand. Lui même ayant plus ou
moins les mêmes dimensions que celles de mon vieil OLYMPUS µII. Si on
compare le tout au volume d'un PANASONIC GM1 et des nouveaux SONY 7
plein format, on se rend compte qu'un appareil plein format compact
disposant d'une optique de qualité est réalisable. J'avoue ne pas
regretter mon choix lors de l'achat de ce Panasonic. Cet appareil
est un excellent outil et dispose d'une gamme optique dédiée
impressionnante avec de magnifiques focales fixes OLYMPUS, PANASONIC, SIGMA, VOIGTLÄNDER et SAMYANG
sans oublier cette multitude de marques chinoises qui se mettent l'une
après l'autre à produire des objectifs de qualité comme LAOWA
et 7 ARTISANS.
Les deux seuls reproches que je lui ferai sont sa dynamique
limitée pour certaines photos de paysage ainsi qu'une certaine faiblesse
à faire une mise au point précise en faible contraste. Le GX7 dans ce
sens est un réel progrès et je ne parle pas du GX8 et de son remplaçant
le GX9.
L'intérêt de ce système est qu'il tient dans
un petit sac et que l'ensemble pèse trois fois rien. Il est fort agréable de ne pas avoir un sac aussi
lourd sur le dos. Je ne
suis pas fan des viseurs numériques et me sers que très rarement de
celui du GX7. Trop cher à mon goût pour le GX1 lors de sa sortie, (pour
le prix du viseur on pouvait s'offrir l'OLYMPUS
45mm F1.8), intégré d'office sur les appareils
suivants (GX7, GX8 et GX9...). Un mot sur les optiques
: les SIGMA sont fabuleuses et pour le prix il ne faut
pas s'en priver. J'ai prêté les DN 19 et DN 30 mm à mon fils et j'en ai
profité pour m'offrir le DN 30 mm F1.4 qui est à tenir sur mon GX7 avec
le 12 mm d'OLYMPUS. J'ai aussi gardé le 60 mm SIGMA qui est redoutable
en portrait. En plus des 30 et 60 SIGMA j'utilise le 12 mm
F2.0 d'OLYMPUS
qui est un excellent objectif donnant un équivalent 24 mm et parfois le
zoom OLYMPUS
9-18, principalement à sa focale extrême. Le principal défaut
des objectifs OLYMPUS que je possède, est la piètre qualité des caches
avant qui se détachent trop facilement. J'ai perdu les deux caches de
mes OLYMPUS,
de mémoire dans la forêt de Chambord, au grès d'une promenade. J'ai
remplacé celui du 9-18 par un cache pour objectif NIKON qui, lui tient
sans soucis. Pour le 12 mm l'objectif est stocké avec son paresoleil.
J'ai trouvé sur le site OLYMPUS un cache
spécifique en métal pour le 12 mm que je pense commander un jour mais
franchement, au prix du 12 mm, celui-ci ne devrait être livré avec des
accessoires corrects ! Pingrerie ou snobisme de la part d'OLYMPUS
? Le fish-eye SAMYANG
est très amusant et d'excellente qualité optique. J'adore m'en servir en forêt ou
dans certains endroits clos où l'espace est restreint. Pour l'instant
je ne défish-eye pas les images. Faites attention à la qualité de la monture si vous l'achetez : j'ai du
changer le mien une fois car l'objectif bougeait un peu lors de la
mise au point, il y avait du jeu dans la monture.
Par la suite, je suis tombé sur une
annonce pour un fish-eye de marque 7 artisans, un 7.5 mm f2.8 que l'on peut trouver
sur internet pour 150€, objectif que j'ai commandé puisque j'avais prêté
mon SAMYANG à une amie qui partait en voyage pour le Japon. L'objectif,
à l'ouverture de la boîte donne vraiment bonne impression. Il est
massif, lumineux, son pare-soleil est amovible, semble bien construit et
les images qu'il donne semblent correspondre avec ce que donne le
SAMYANG 7.5 mm. Par curiosité j'ai commandé le 25 mm F1.8 pour 58 € plus
31€ de frais de douane. L'objectif est livré dans le même genre de boîte
que le 7.5 mais là j'ai eu droit, en sus au pare-soleil, à un filtre UV
ainsi qu'à une petite pochette pour ranger l'objectif. Si OLYMPUS
pouvait s'en inspirer ! On se demande quand même comment font ces
marques chinoises pour proposer des objectifs spécifiques à un prix si
bas... e seul
défaut à mon sens de ces deux objectifs est le fait que le diaphragme
est continu, il n'y a pas de clic lorsque l'on passe d'une valeur à une
autre et j'imagine que ce point a été prévu pour les vidéastes. Le
bouchon en plastique souple protégeant la lentille frontale du fish-eye
fait bas de gamme. Pour le prix demandé on ne peut sans doute trop en
demander mais pour presque trois fois moins cher, celui du 25 mm fait
mille fois plus sérieux. Le 25 et le 7.5 mm sont deux très bons
objectifs pour le prix. La mise au point manuelle tout comme la
sensation que donne un objectif métallique est un plus pour certains. On
s'est pourtant tous habitués au plastique sur les objectifs récents mais
le métal donne une impression de solidité. Je pense qu'il va falloir
surveiller de près ce fabriquant. SAMYANG
est, avec SIGMA l'une des marques les plus innovantes : 14, 35, 85... un
50 mm puis un 135 qui ouvre à 2, un 20 mm, des objectifs ouvrant à f1.2
sans compter le développement de focales fixes pour SONY A7/9 et pour
CANON EF / NIKON F. Une belle collection d'objectifs manuels certes mais
abordables et très qualitatifs pour leur prix. Leur 85 mm me fait
de l’œil depuis sa sortie, je pense m'en offrir un en monture PENTAX.
J'aimerais beaucoup pouvoir en trouver un en monture MINOLTA MD, j'ai eu
la chance de trouver un MINOLTA X700 pour une bouchée de pain et la
qualité se son viseur mérite bien un tel objectif. MINOLTA était réputé
par la qualité de ses verres de visée. Les verres de visée Acute-Mate
qui équipaient les fameux HASSELBLAD provenaient de MINOLTA.L'autre avantage des hybrides est de pouvoir
monter presque tout comme objectifs anciens ou récents à l'aide de
bagues adaptatrices comme cité plus haut. Par contre attention, la
focale équivalente est modifiée du fait de la taille du
capteur plus petite que celle du format 24*36. Un 50 mm Pentax monté sur
mon PANASONIC GX7 donnera un équivalent 100 m alors qu'il donnera un
équivalent 75 mm (rapport *1.5) sur un hybride FUJI ou SONY au format APSC. Le 50
mm, objectif généralement tout petit devient un magnifique objectif à
portrait. Attention toutefois aux anciens grand-angles qui ne sont
pas tous très qualitatifs sur hybride. L'optique a fait d'énormes
progrès, les 35 à 50 mm et au delà passent généralement très bien, les
28, 24, 21, 17... sont généralement pas terribles. Le mieux est de
faire un essai mais mon expérience prouve que ces focales ne
passent pas bien sur hybrides, en tous les cas sur un Micro 4/3. J'ai
fait quelques rapides essais sur le PENTAX K-01 de ma compagne, le 28 F
PENTAX n'est pas top alors que c'est une excellent objectif en
argentique. Attention aussi à la mise au point manuelle. Sur pied, pas
de problèmes mais à main levée c'est une autre limonade : le 50 mm en
manuel sur un MFT est pour moi une limite haute.
Côté accessoires, il est de plus en plus
difficile de trouver un déclencheur souple de qualité pour appareil
argentique moyen format ou 24*36. Heureusement, NIKON (AR-3) et KAISER par exemple
en proposent encore. Pour mes NIKON argentiques et mes PANASONIC
micro 4/3 j'utilise les déclencheurs filaires de la marque Hähnel. En ce qui concerne les
trépieds, je dispose de deux trepieds MANFROTTO
depuis des années. J'en suis très content. Ils
supportent mes moyens formats et mes autres babioles sans soucis. Ce ne
sont pas des modèles carbones mais leur poids ne me gène pas. Lors
d'un voyage en Suède, je me suis rendu compte que mon trepied que je
n'avais pas pris me manquait fortement. Manque de place avais-je pensé
au départ en préparant mes sacs... Grossière erreur ! Je suis tombé sur
la marque SIRUI, plus dans mes
prix que les MANFROTTO, léger et supportant mon F5 et mon BRONICA,
j'ai sauté le pas. Ce trépied est vendu avec sa rotule, son sac de
transport très pratique surtout en voyage et dispose d'un crochet en
bas de la colonne auquel on peut accrocher une charge lourde
(généralement j'y accroche mon sac pour alourdir l'ensemble et éviter
le plus possible les vibrations). Le seul problème est le
système de fixation par plateau attache rapide compatible ARCA-SWISS.
Une fois le plateau sur les rails de la rotule, il faut visser. Bien
faire attention à bien insérer le plateau dans les rails. Sinon ça
tombe.
Ce choix est plus ou moins le
même pour un 85/135. Zoom, ancienne focale fixe AF ou non, manuelle
récente genre SAMYANG ou ZEISS/COSINA/VOIGTLÄNDER d'occasion
puisque seuls SAMYANG et IRIX proposent des focales fixes variées
récentes. C'est là qu'à mon sens, PENTAX a fait une grosse erreur :
à la sortie du K1, en sus des zooms, PENTAX aurait dû proposer un 50
mm ouvert à 1,8 ou à 1,4. J'ai finalement craqué pour le zoom
PENTAX DFA 24-70 qui est tout de même bien pratique notamment en
paysage par mauvais temps. Je ne regrette en rien l'achat de ce K1,
je dispose tout de même de quelques belles optiques mais le fait
qu'il ait des trous dans la gamme, notamment concernant les
grand-angles m'ennuie et le 15-30 même s'il est magnifique est tout
de même assez cher. Attendons de voir ce que PENTAX va nous proposer
à l'avenir en plus du magnifique DFA 50 mm F1.4. Il faut avouer que
le K1 a besoin d'excellents objectifs ce qui est somme toute normal
avec un capteur de 36 Mp. Le K1 se trouve pour un prix "abordable"
en fin de vie et d'occasion. J'ai bien pris le soin de mettre
abordable entre parenthèses, le prix demandé équivaut à un mois de
salaire pour beaucoup. Mais c'est un appareil robuste, le prix
s'oublie, la qualité reste. Les 50 et 100 macro Pentax DFA et
DFA WR sont une excellente porte d'entrée pour accompagner un
K1. Il reste aussi les macro SIGMA en monture Pentax, les 50
et 70 mm. J'imagine que le 100 Macro SIGMA est intéressant mais je
ne l'ai pas eu en main pour juger.
Voici ma liste des défauts du K1 :
Pour
l'AF, absence de joystick dédié pour le choix du capteur AF actif
comme sur le F5. Il y a bien un trèfle mais il a une double fonction
et si l'on appuie sur la mauvaise touche, au lieu de changer le
capteur AF on se retrouve à passer en mode retardateur ou à changer
la balance des blancs. De plus, la disposition du trèfle ne
correspond pas à ma morphologie de main. Ce problème est encore plus
accentué avec le grip, le pouce ne tombe pas naturellement au bon
endroit.
L'AF
live view et lent, trop lent et manque de sensibilité en basse
lumière. Sans faire de la photo sportive il faut penser à la
vivacité des enfants.
Le
K1 dispose de l'astrotracer mais à mon sens, il lui manque un mode
"mise au point sur les étoiles". Dans la pénombre avec le Live View,
distinguer une étoile peu lumineuse noyée dans le bruit numérique
n'est pas chose aisée.
Avec
un objectif à mise au point manuelle, seul le capteur central est
utilisable pour l'assistance AF. Avec un télé en portrait, la mise
au point se faisant sur les yeux, il devrait être possible
d'utiliser un autre capteur.
Certains
ajouteront un mode vidéo 4K. Pourquoi pas. Pour ma part je l'ai déjà
sur mon PANASONIC GX7
Qui dit photo argentique, dit film.
Couleur, noir et blanc, négatif, diapositive, lent ou rapide... KODAK,
FUJI, ILFORD, AGFA, FOMA, FORTE... J'ai beaucoup utilisé de film
noir et blanc AGFA, FUJI, ILFORD et KODAK, très peu de FOMA et encore
moins de FORTE, marque hongroise je crois qui ne m'a jamais séduit et
qui a disparu. FOMA marque
tchèque est
intéressante ; de mémoire ces films noir et blanc donnent un rendu
ancien aux photos. Film pas cher, surtout quand on peut les acheter à
Prague, ils sont beaucoup trop cher en France. MACO DIRECT, fabricant
et distributeur de surface sensible les vent à un prix acceptable.
J'en fait un stock dès que je suis en République Tchèque. Dernièrement
j'ai beaucoup utilisé de TRIX, film classique
400 ISO (il me reste encore du 320 ISO en 120 !). En fait je
jongle entre HP5+ d'ILFORD, Kodak TRIX, FUJI NEOPAN 400 et AGFAPAN 400
ISO. La production de la FUJI NEOPAN 400 a été arrêtée par FUJI ce que
je regrette beaucoup. J'aimais beaucoup ce film. Il m'en reste encore
quelques bobines mais plus pour longtemps... Dernièrement, BERGGER,
fabricant français a lancé la production d'un nouveau film noir et
blanc 400 ISO, la BERGGER PANCRO 400 qui, semble-t-il, rappelle la
NEOPAN 400 de FUJI. Si c'est vrai c'est une excellente nouvelle. J'en
ai commandé quelques bobines pour vérifier. Il est amusant de
constater qu'en pleine folie numérique, de nouveaux produits noir et
blanc argentiques sont proposés aux amateurs et professionnels. Il est
vrai que l'offre s'est réduite comme peau de chagrin depuis les débuts
du numérique (KODAK, Konica, FORTE, POLAROID, AGFA et certains films
FUJI...). Il n'y a guère qu'ILFORD et FOMA qui n'ont pas supprimé de
films noir et blanc au sein de leur production.
[ACCUEIL] [PHOTOS]
[MATERIEL] [PARUTIONS] [DROITS]
[BIO] [LIENS]
[CONTACT]
© Grimaud 2001/2019